Dans le monde des affaires, les émotions sont aujourd’hui encore taboues. Là où les chiffres, données et faits sont déterminants pour le succès d’une entreprise, ce que l’on appelle les facteurs « mous » sont volontiers relégués à l’arrière-plan. Alors qu’ils sont au moins tout aussi importants pour qu’hommes et femmes « assurent » dans le quotidien riche en défis d’une entreprise : autoréflexion, perception de soi et des autres ainsi qu’autoguidage ne sont que quelques notions capitales dans ce contexte.
- Le leadership ne doit plus rester un chantier permanent dans votre entreprise ?
- Vos cadres doivent enfin mieux exploiter les potentiels des collaborateurs ?
- L’autoréflexion doit faire partie de l’« équipement de base » d’un cadre ?
Avec la conviction la plus profonde, je relie soft skills et hard facts. Des cadres et décideurs internationaux me disent qu’ils ont estimé dans notre collaboration notamment la manière enthousiasmante, dynamique et pleine de présence avec laquelle j’ai amélioré leur organisation. Pour eux, pour leurs collaborateurs, pour leur entreprise.